Indemnisation vol retardé : comment obtenir son indemnité ?
Vos droits en cas de vol retardé : découvrez comment obtenir une compensation entre 250 € et 600 €.
Sommaire
- Introduction
- Quelles conditions dois-je remplir pour être indemnisé en cas de vol retardé ?
- Vol en retard : quel montant d’indemnité puis-je réclamer ?
- Vol retardé : comment déposer une réclamation ?
- Combien de temps ai-je pour faire une demande ?
- Combien de temps après l’annulation puis-je réclamer une indemnité ?
- Quels vols retardés sont couverts ?
- Indemnité vol annulé : pourquoi choisir Joweys ?
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Introduction
Un vol retardé peut bouleverser vos projets. Arriver en retard à une réunion, rater une correspondance, manquer un événement important : ces désagréments sont fréquents et stressants. Heureusement, le règlement européen CE 261/2004 du 11 février 2004 protège les passagers. Il vous permet de réclamer une indemnisation pouvant aller jusqu’à 600 €, sous certaines conditions. Quelles sont ces conditions, combien pouvez-vous espérer et comment déposer une demande d’indemnité ?

Joweys
Indemnisation vol retardé : comment obtenir son indemnité ?
Quelles conditions dois-je remplir pour être indemnisé en cas de vol retardé ?
Pour être éligible, il faut d’abord que le vol corresponde à certains critères géographiques. Tout passager partant d’un aéroport situé dans l’Union européenne, en Islande, en Suisse ou en Norvège peut déposer une réclamation, quel que soit le transporteur. De même, les vols à destination de l’Union européenne sont également couverts, à condition qu’ils soient opérés par une compagnie européenne.
L’éligibilité dépend aussi du statut de la compagnie aérienne. Lorsqu’il s’agit d’un transporteur européen, la protection s’applique aussi bien aux vols internes à l’UE qu’aux liaisons internationales, qu’elles partent d’Europe ou y atterrissent. Pour une compagnie non européenne, seuls les vols qui décollent de l’UE sont pris en compte.
La cause du retard joue également un rôle déterminant. Les passagers peuvent demander une compensation si le retard est lié à une panne technique de l’avion, à un problème organisationnel, à une difficulté liée à l’équipage (pilote malade, dépassement des temps de vol), ou encore à une grève du personnel de la compagnie. Même l’absence d’informations communiquées par le transporteur peut justifier une demande.
En revanche, certains événements qualifiés de circonstances extraordinaires excluent toute indemnisation. C’est le cas en situation de crise politique, de menace sécuritaire, de collision avec des oiseaux, de grève des contrôleurs aériens ou du personnel aéroportuaire, ou encore lors d’épisodes météo extrêmes tels que tempêtes, brouillard dense, chutes de neige ou éruptions volcaniques.
Vol en retard : quel montant d’indemnité puis-je réclamer ?
Le montant de la compensation dépend de la distance parcourue et non du prix payé pour le billet. Pour un trajet court-courrier inférieur à 1 500 km, l’indemnité prévue est de 250 €. Pour un vol moyen-courrier entre 1 500 et 3 500 km, la somme s’élève à 400 €. Les vols de longue distance au-delà de 3 500 km donnent droit à 600 € si le retard dépasse quatre heures, et à 300 € si le retard est compris entre trois et quatre heures.
En parallèle, le règlement impose aux compagnies une série d’obligations. Elles doivent assurer la prise en charge des passagers pendant l’attente : distribution de collations et de boissons, mise à disposition de moyens de communication (deux appels téléphoniques ou e-mails), et prise en charge d’une nuit d’hôtel avec transport aller-retour si le vol est reporté au lendemain. Lorsque le retard dépasse cinq heures, le passager est libre de renoncer à son voyage et de demander le remboursement de son billet, tout en conservant son droit à une indemnisation.
Vol retardé : comment déposer une réclamation ?
La demande n’est jamais automatique. C’est au passager d’enclencher la procédure, ce qui peut prendre du temps et parfois s’avérer décourageant. Deux options existent : entamer soi-même les démarches auprès du service client de la compagnie aérienne, ou faire appel à des professionnels comme Joweys, qui prennent tout en charge.
Pour constituer un dossier solide, il est important de conserver certaines preuves : le billet électronique, la carte d’embarquement, les étiquettes de bagage, l’attestation de retard fournie par la compagnie, ainsi que les factures liées aux dépenses occasionnées (repas, taxi, hôtel). Ces documents permettent de prouver que vous étiez bien concerné par le vol et de démontrer l’ampleur du préjudice subi.
Si la compagnie refuse votre réclamation ou propose une somme inférieure à ce que prévoit la loi, il reste possible de transmettre le dossier à Joweys. L’équipe procèdera alors à une nouvelle demande amiable ou à une action judiciaire, afin de récupérer la totalité de vos droits.
Combien de temps ai-je pour faire une demande ?
Les délais varient selon les pays. En France, vous disposez de 5 ans pour déposer une réclamation à compter de la date prévue du vol, délai fixé par un arrêt de la Cour de cassation en 2017. En Allemagne, ce délai est de 3 ans, et en Belgique, il est limité à 1 an. Mieux vaut ne pas attendre trop longtemps : plus la réclamation est faite rapidement, plus il est facile de rassembler les preuves et de faire valoir ses droits.
Quels vols retardés sont couverts ?
Sont concernés par la réglementation les vols qui partent d’un aéroport situé dans l’Union européenne, en Islande, en Suisse ou en Norvège, sans distinction de compagnie aérienne. Sont aussi couverts les vols opérés par des compagnies européennes au départ d’un pays tiers vers une destination européenne. Enfin, les vols avec correspondances, lorsqu’ils commencent dans l’UE et sont opérés par un transporteur européen, sont inclus dans ce dispositif de protection.
Indemnisation vol retardé : pourquoi confier votre dossier à Joweys ?
Se lancer seul dans une procédure contre une compagnie aérienne peut être complexe. Les délais sont longs, les réponses parfois dilatoires et les chances d’obtenir la totalité de l’indemnité souvent réduites. C’est là qu’intervient Joweys, société spécialisée dans la défense des passagers aériens.
Notre équipe d’experts et de juristes se charge de constituer votre dossier, d’analyser les données du vol, de négocier directement avec la compagnie et, si nécessaire, d’engager une action en justice. Nous fonctionnons au succès uniquement : aucun frais fixe n’est demandé et nos honoraires sont prélevés uniquement en cas d’indemnisation effective (5% de la somme obtenue).
Confier son dossier à des professionnels, c’est gagner du temps, éviter le stress et s’assurer que vos droits seront pleinement respectés.
Un vol retardé peut vite se transformer en cauchemar. Mais la loi est de votre côté : selon la distance parcourue et la durée du retard, vous pouvez toucher jusqu’à 600 € de compensation, en plus d’une prise en charge immédiate. Pour maximiser vos chances, n’hésitez pas à confier votre dossier à des spécialistes.
Réclamez dès maintenant votre indemnité si votre vol a subi plus de 3 heures de retard !
Les vols annulés non éligibles à une indemnité
Certaines situations exonèrent la compagnie de toute obligation de verser une compensation.
- Si l’annulation est annoncée au moins 14 jours avant le départ, aucune indemnité n’est prévue.
- Entre 7 et 14 jours avant le départ, aucune compensation n’est due si le nouvel horaire n’avance pas le départ de plus de 2 heures et ne retarde pas l’arrivée de plus de 4 heures.
- À moins de 7 jours, l’indemnité n’est pas versée si le départ est avancé d’1 heure maximum ou si le retard à l’arrivée reste inférieur à 2 heures.
De plus, le règlement européen mentionne les circonstances extraordinaires, qui échappent au contrôle des compagnies aériennes et excluent toute indemnisation. Ces circonstances incluent :
- Les catastrophes naturelles (éruptions volcaniques, tremblements de terre, inondations). L’exemple marquant reste l’éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull en 2010, qui a paralysé le ciel européen pendant plusieurs jours.
- Les restrictions de l’espace aérien imposées par les autorités.
- La fermeture d’un aéroport pour des raisons de sécurité.
- L’instabilité politique ou des risques pour la sécurité des passagers.
- Les collisions aviaires (impact avec des oiseaux).
- Les conditions météorologiques extrêmes : fortes chutes de neige, tempêtes violentes, brouillard dense, grêle, etc.
En revanche, certains événements comme les grèves du personnel de la compagnie, les problèmes techniques ou les erreurs organisationnelles ne sont pas considérés comme extraordinaires. Dans ces cas, l’indemnisation reste pleinement applicable.
Indemnité vol annulé : pourquoi choisir Joweys ?
Engager seul une procédure contre une compagnie aérienne peut être long, complexe et décourageant. Les compagnies disposent souvent d’équipes juridiques et de procédures internes pour décourager les passagers de réclamer.
Joweys se spécialise dans l’accompagnement des voyageurs victimes d’annulations, de retards importants ou de surbooking. L’équipe agit comme un intermédiaire entre vous et la compagnie aérienne, en prenant en charge :
- La constitution du dossier.
- La gestion des échanges avec la compagnie.
- L’engagement d’une action judiciaire si nécessaire.
Cet accompagnement permet de rééquilibrer le rapport de force entre passager et compagnie, d’éviter le stress des démarches et de garantir un meilleur taux de succès.
De plus, le modèle économique de Joweys repose sur le succès uniquement : aucun frais fixe n’est réclamé, les honoraires représentent un pourcentage (5%) des indemnités effectivement perçues. Cela assure une transparence totale et une motivation claire à défendre vos droits.
Un vol annulé peut bouleverser vos plans et générer des frais imprévus. Mais grâce au règlement CE 261/2004, les passagers disposent de droits solides, incluant une compensation financière allant jusqu’à 600 €. Pour maximiser vos chances de succès et éviter les démarches complexes, confiez votre réclamation à des experts.
Réclamez dès aujourd’hui votre indemnité pour vol annulé !